À propos

Qui suis-je ?

Je m’appelle Mélissa LAVEMBO et c'est en quelque sorte grâce à mes deux garçons que j’en suis là aujourd’hui.

Les épreuves de ma vie m’ont amené à m'intéresser au développement personnel puis aux thérapies brèves et au coaching. J'avais l'impression de ne pas vivre ma propre vie et de perdre le contrôle.

Le jour où j'ai découvert la programmation neuro linguistique (PNL), j'ai commencé à changer ma façon de penser et de considérer mes difficultés pour reprendre peu à peu la responsabilité de ma vie. J'ai choisi de mener une vie qui me correspond mieux avec la forte conviction qu’aucune femme ne devrait subir sa vie. Je rêvais d’un monde de femmes résilientes qui osent briller et accomplir leurs rêves les plus audacieux.

À 34 ans, je voulais un enfant.
Je me suis rendu compte que ce n’était pas aussi simple que je le pensais. Après plus d'un an de tentatives, je n’étais toujours pas enceinte sans aucune explication médicale. Énorme déception !

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2020, première grossesse

Cette grossesse tant attendue ne se passait pas du tout comme je l’avais imaginé. À la fin du quatrième mois de grossesse, je découvre malgré moi la fausse couche tardive. Je perds les eaux et le cœur de mon petit Zacharie cesse de battre. Je n’étais pas du tout préparée à cette éventualité. Je suis dévastée.

Suite à cette expérience douloureuse, je décide de me lancer dans ma reconversion professionnelle. La perte de mon fils me fait réaliser que la vie peut s’arrêter au moment où on s’y attend le moins et qu’il n’y a pas de temps à perdre pour réaliser ses rêves. Je deviens coach de vie et praticienne en thérapies brèves. Dans la foulée, j’écris mon premier livre.

Fin 2022, deuxième grossesse

Nous essayons depuis un an d’avoir un autre bébé. Une FIV est déjà programmée au premier trimestre 2023. Finalement, nous n’en aurons pas besoin, car mon test de grossesse est positif. Mais durant toute l’année écoulée, je constate l'impact émotionnel que la fausse tardive a eu sur mon désir de grossesse et ensuite, sur ma façon de vivre cette deuxième grossesse. Je suis à la fois heureuse et terrifiée à l’idée que la grossesse s’interrompe. J’angoisse. J'ai peur de trop m’attacher à bébé Armani.

Durant cette grossesse, j’ai compris qu’une bonne prise en charge médicale ne suffit pas pour bien vivre la grossesse d’après. Un accompagnement psycho-émotionnel est essentiel. C’est ainsi que je choisis de travailler sur les difficultés périnatales avec une spécialisation pour les grossesses qui arrivent après la perte d’un bébé (deuil périnatal).

Aujourd’hui, c’est avec une boîte à outils riche que j'aide les parents et les futurs parents à déposer librement leurs émotions et à avancer sereinement dans leur vie malgré un parcours périnatal difficile. Je suis motivée par la croyance qu'il est possible de donner du sens à sa vie et de s'épanouir après un évènement traumatique.